mercredi 20 novembre 2013

WHERE I LIE (Sarah Russell)



Where I lie (Sarah Russell)

I am broken but I am not scared
I am lost but I'm fully aware
That I hear you lately, I hear you lately
And maybe I'm tired of feeling this way
A little discouraged that I cannot change
But I hear you lately, I hear you lately
For I don't know why, don't know where I got this feeling

The love you gave, the point you made has slowly passed me by
And now I feel to say goodbye is all that I've got near
Soul, is this where I lie
Soul, is this where I lie

Take my hand before give in
Hold me back before I dive in
For I hear you lately, I hear you lately
So maybe I feel that I want to stop
But I'm running in circles and I can't get off
So I hear you lately, I hear you lately
For I don't know why, don't know where I got this feeling
The love you gave, the point you made has slowly passed me by
And now I feel to say goodbye is all that I've got near
Soul, is this where I lie
Soul, is this where I lie
Ooh, the love you gave, the point you made has slowly passed me by
Ooh, and now I feel to say goodbye is all that I've got near
Soul, is this where I lie
Soul, is this where I lie

You said, I don't know the reasons why you feel like this
Why the world is pulling you
For I would give you my eyes to see and my lungs to breath
If you felt my love, you felt my love, you felt all my love
Then the world would not bring you down
You said, I don't know the reasons why you feel like this
Why the world is pulling you
For I would give you my eyes to see and my lungs to breath
If you felt my love, you felt my love, you felt all my love
Then the world would not bring you down
If you just felt my love, you felt my love, you felt all my love
Then the world would not bring you down

 

mercredi 13 novembre 2013

Louise Objet d'étude n°1

Sujet: Les demoiselles de Rochefort

Thématique
Arts, rupture et continuité


Domaine artistique
Arts du visuel

Problématique :
Comment ce film a-t-il influencé certains cinéastes d'aujourd’hui?




Extrait



Extrait


Comédie musicale "Les demoiselles de Rochefort"


Extrait du film "Peau d'âne"

Estelle Objet d'étude n°1

Thématique

1.       Arts, espace, temps.  « Arts du langage ».
Problématique : La nostalgie dans l'œuvre d'Aznavour (à redéfinir)
  • autres chansons du même sujet :
-Sa jeunesse
-Non, je n'ai rien oublié
-Deux guitares
-hier encore



Pistes de travail
  • Etude du texte de "La bohème"
  • Définir le sens du titre en lien avec les origines de l'artiste
  • Etude comparer avec d'autres chansons du même auteur (points communs, sujets, phrases qui reviennent)
  • Etude de la musique. (Etude de la version originale, rappel du type d'orchestration-orchestre symphonique, variété romantique-recherche d'élément ramenant aux origines "orientales" d'Aznavour. Possibilité de s'aider par l'intermédiaire d'un vidéo de la chanson en concert)
  • Possibilité d'illustrer via un diaporama le Paris des années 50-photos de Montmartre en noir et blanc, peinture de Paris ou de quelques artistes établis à Paris à cette période.
  • Le côté universel de ce thème a fait de ce titre l'un des plus grands succès de la chanson français à travers le monde. Aznavour l'a d'ailleurs réenregistré en italien, espagnol, anglais, allemand et en portugais!
 
La chanson d'Aznavour parle des artistes qui menaient une vie de Bohème au début du XXe siècle à PARIS, principalement dans le quartier de Montmartre. La Bohème c'est une façon de penser et de vivre dans l''insouciance du lendemain, la Bohème refuse la domination des bourgeois.
Ce mouvement existait déjà au XVIIIe siècle. Au XIXe il désigne un mouvement littéraire et artistique en marge du mouvement romantique plus "aristocratique". Il s'amplifie au début du XXe siècle.

L'expression "bohème" connait un déclin à partir de 1960. Charles Aznavour écrit le texte de sa chanson en 1965, il nous parle d'un temps révolu, et le fait avec nostalgie. Dans le texte il dit "je vous parle d'un temps que les moins de 20ans ne peuvent pas connaître", donc il situe "sa" bohème au début du XXe siècle (mais forcément avant la seconde guerre mondiale).

Les artistes avaient été attirés par le quartier de Montmartre par le prix modeste des loyers. Peintres, sculpteurs, écrivains ou poètes s'y étaient installés (Toulouse-Lautrec, Modigliani, Utrillo, Picasso...). Ils se retrouvaient au "Lapin Agile" pour manger, chanter et rire, refaire le monde. Certains allaient danser au Moulin de la Galette.



Charles Aznavour naît le 22 mai 1924, rue Monsieur-le-Prince à Paris, dans une famille d’artistes. Son père, Micha Aznavourian, arménien né en Géorgie, est le fils d’un cuisinier du gouverneur d'Arménie. Sa mère, Knar Baghdassarian, est issue d’une famille de commerçants arméniens de Turquie.
 
C’est par hasard que le petit Charles voit le jour en France, alors que ses parents séjournent à Paris dans l’attente d’un visa pour les États-Unis. Micha, ancien baryton, ouvre un petit restaurant arménien à Paris, où il chante pour les exilés d'Europe centrale. Avec sa femme qui est comédienne, ils élèvent leurs deux enfants, Charles et sa sœur aînée Aïda, dans une atmosphère de musique et de théâtre et au milieu des nombreux artistes qui fréquentent le petit restaurant de la rue de la Huchette. C'est à l’âge de neuf ans que le jeune Aznavour (qui devient son nom de scène) débute sa carrière de chanteur et de comédien.


La carrière d'Aznavour connaît un premier éveil en 1946 lorsqu’il est remarqué par la chanteuse Édith Piaf. Formant alors le duo Roche et Aznavour (avec le pianiste Pierre Roche), ils accompagnent Piaf dans une tournée en France et aux États-Unis.
Esprit autocritique, Aznavour écrit, lucide : « Quels sont mes handicaps ? Ma voix, ma taille, mes gestes, mon manque de culture et d'instruction, ma franchise, mon manque de personnalité. Ma voix ? Impossible de la changer. Les professeurs que j'ai consultés sont catégoriques : ils m'ont déconseillé de chanter. Je chanterai pourtant, quitte à m'en déchirer la glotte. D'une petite dixième, je peux obtenir une étendue de près de trois octaves. Je peux avoir les possibilités d'un chanteur classique, malgré le brouillard qui voile mon timbre [...] ».
 

La chanson « La Bohème » est une chanson extraite de l'opérette "Monsieur Carnaval" dont Charles Aznavour a écrit les chansons. La pièce est inspirée du phénomène socio-artistique qui commence bien avant l’époque de jeunesse de notre chanteur.
Anthony Glinoer en donne une définition assez fidèle. « En tant qu’entité sociologique censée conjoindre dans une même persona Pétrus Borel, Henri Murger, Privat d’Anglemont, Verlaine, Picasso et Charles Aznavour, pour ne parler que de la France, la bohème est une fiction de l’histoire littéraire. Chronologiquement indéfinissable, sociologiquement confuse, littérairement indécidable, la bohème forme une catégorie fourre-tout, une construction à toutes fins utiles.
Et pourtant, si elle ne cesse de filer entre les doigts de l’historien, la bohème joue bel et bien un rôle de premier plan dans les représentations dont l’activité littéraire et artistique fait l’objet aux xixe et xxe siècles.
Le portrait physique et social du bohème typique nous est d’emblée familier et s’impose même en haut de la liste de nos imaginaires de l’écrivain et de l’artiste : Costume étrange, cheveux longs, existence au jour le jour, absence de domicile fixe, liberté sexuelle, enthousiasmes politiques extrémistes, penchant pour la boisson, pour la drogue, peu de goût pour le travail régulier, beaucoup pour la vie nocturne », etc.
La bohème et le bohème, en somme, nous apparaissent mais nous échappent. » (Anthony Glinoer, « L’orgie bohème », COnTEXTES [En ligne], n°6 | septembre 2009 , mis en ligne le 28 août 2009, consulté le 28 décembre 2011 : http://contextes.revues.org/index4369.html)

 
L’un des endroits préférés par les artistes de cette période était Montmartre.


   
Montmartre fut longtemps un village hors de Paris. Son nom a sans doute pour origine Mons Martis (le mont de Mars) car à l'époque gallo-romaine, un temple dédié à Mars, dieu de la guerre, se trouvait sur la butte (ainsi qu'un autre temple, dédié à Mercure). Une autre origine étymologique est cependant évoquée : le mont du martyre (martyr venant du grec martus) car elle fut, selon la légende, un lieu de passage important de Saint Denis, premier évêque de Paris, qui aurait survécu à son exécution. Victime des persécutions anti-chrétiennes il fut décapité sur la colline de Montmartre avec deux autres coreligionnaires. La légende raconte qu'il ramassa sa tête et marcha jusqu'à l'emplacement de l'actuelle basilique de Saint-Denis où il fut inhumé. Une des rues historiques menant à Montmartre s'appelle la rue des Martyrs.

Aux xixe et xxe siècles Montmartre a été un lieu phare de la peinture, accueillant des artistes comme Pissarro, Toulouse-Lautrec, Steinlen, Van Gogh, Modigliani, Picasso... Plus tard les artistes peintres abandonnèrent peu à peu le quartier de Montmartre, préférant se réunir désormais dans un autre quartier de Paris, le quartier du Montparnasse.

Historiquement le quartier de Montmartre comprend la partie ouest du 18e arrondissement, la partie nord du 9e arrondissement.

 

 
Montmartre est désormais un quartier de Paris situé dans le nord de la capitale, sur la colline de la butte Montmartre qui est l'un des principaux lieux touristiques de Paris. C'est à Montmartre qu'est situé le point culminant de Paris : 130,53 mètres, altitude du sol naturel à l’intérieur du cimetière jouxtant l’église Saint-Pierre de Montmartre.
On accède au sommet de la colline par le funiculaire ou en empruntant un escalier de 222 marches.



Le premier funiculaire de Montmartre circula dès 1900 grâce à un système à eau, puis  grâce à un moteur électrique 30 ans plus tard. En 1991, il a été entièrement automatisé et gravit désormais les 36 m de dénivelé en moins d'une minute et trente secondes.



Histoire des Arts: suivi d'élèves

J'espère que votre travail avance petit à petit.
Je serai votre professeur référent et vous aiderai à mener vos projets à bien.
Je reste donc à votre disposition, si vous avez quelque question que ce soit,
de nouvelles idées, des corrections à apporter...
Faites m'en part à la fin des cours et je vous répondrai ici, sur ce blog.
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Le barème pour l'Histoire des Arts est ICI 
Jean-Eudes

Objet d'étude n°1 (Né en 17 à Leidenstadt)

Objet d'étude n°2

Objet d'étude n°3

Objet d'étude n°4

Objet d'étude n°5




Chloé

Objet d'étude n°1 (La voltige)

Objet d'étude n°2

Objet d'étude n°3

Objet d'étude n°4

Objet d'étude n°5




Louise



Objet d'étude n°1 (Les demoiselles de Rochefort)

Objet d'étude n°2 (Les Beatles)

Objet d'étude n°3 (Le cirque romain)

Objet d'étude n°4 (Alain Bashung)

Objet d'étude n°5 (La basilique de Lourdes)










Quelques explications générales :


Les Arts plastiques et l’Éducation musicale, disciplines artistiques par excellence sont plus particulièrement concernées, mais TOUTES les matières peuvent faire référence à l’Histoire des Arts.


  Les œuvres étudiées appartiennent à six grands domaines artistiques :


- Les « arts de l’espace » : architecture, urbanisme, arts des jardins.

- Les « arts du langage » : littérature écrite et orale (roman, nouvelle, fable, légende, conte, mythe, poésie, théâtre, etc.).

- Les « arts du quotidien » : arts appliqués, design, objets d’art ; arts populaires.

- Les « arts du son » : musique vocale, musique instrumentale, technologies de création et de diffusion musicales.

- Les « arts du spectacle vivant » : théâtre, musique, danse, mime, arts du cirque, arts de la rue.

- Les « arts du visuel » : Arts plastiques : architecture, peinture, sculpture, dessin, photographie, bande dessinée, etc. Cinéma, audiovisuel, vidéo et autres images.
Pour chacun des domaines artistiques, six thématiques peuvent être traitées :




  • Thématique « Arts, créations, cultures »
    Les œuvres d’art à travers les cultures, les sociétés, les civilisations.
    L’œuvre d’art et la genèse des cultures – L’œuvre d’art, la création et les traditions L’œuvre d’art et ses formes populaires et savantes.
  • Thématique « Arts, espace, temps »
    Les œuvres d’art et les relations qu’elles établissent, avec les notions de temps et d’espace.
    L’œuvre d’art et l’évocation du temps et de l’espace – L’œuvre d’art et les grandes figures culturelles du temps et de l’espace – L’œuvre d’art et la place du corps et de l’homme dans le monde et la nature.
  • Thématique « Arts, États et pouvoir »
    Le rapport que les œuvres d’art entretiennent avec le pouvoir
    L’œuvre d’art et le pouvoir- L’œuvre d’art et l’État – L’œuvre d’art et la mémoire
  • Thématique « Arts, mythes et religions »
    Les rapports entre art et sacré, art et religionart et spiritualité, art et mythe.
    L’œuvre d’art et le mythe – L’œuvre d’art et le sacré – L’œuvre d’art et les grandes figures de l’inspiration artistique en Occident.
  • Thématique « Arts, techniques, expressions »
    Les œuvres d’art comme support de connaissance, d’invention, d’expression en relation avec le monde technique.
    L’œuvre d’art et l’influence des techniques – L’œuvre d’art et la technique, source d’inspiration – Les grandes figures artistiques et technique – L’œuvre d’art et la prouesse technique.
  • Thématique « Arts, ruptures, continuités »
    Les effets de reprises, de ruptures ou de continuité entre les différentes périodes artistiques, entre les arts et dans les œuvres d’art.
    L’œuvre d’art et la tradition – L’œuvre d’art et sa composition – L’œuvre d’art et le dialogue des arts
    Pour ceux que ça intéresse, 
    voici une petite explication sur ce que l’on appelle « arts » dans l’histoire :
    Au Moyen-âge, on ne distinguait pas les arts des sciences.
      On comptait sept arts répartis en : 


  • sciences du langage (au nombre de trois),
  • sciences mathématiques : arithmétique, géométrie, astronomie et musique.
    S’y ajoutaient :
  • les arts mécaniques (les activités manuelles, opposées à celles intellectuelles) qui désignaient l’architecture, la sculpture, la peinture et l’orfèvrerie.
  •  A partir du XIXè s. (1829), le philosophe allemand Hegel distingue cinq arts :
  • l’architecture ;
  •  la sculpture ;
  •  la peinture ;
  •  la musique ;
  •  la poésie.
    À la fin du XXe siècle, la liste suivante se trouve bien établie et stabilisée à neuf, à l’image du nombre des Muses antiques :
  •  1er art : l’architecture ;
  •  2e art : la sculpture ;
  •  3e art : la peinture ;
  •  4e art : la musique ;
  •  5e art : la poésie ;
  •  6e art : la danse, le mime, le théâtre et le cirque, aujourd’hui les « arts vivants » ;
  •  7e art : le cinéma ;
  •  8e art : la radiodiffusion, la télévision et la photographie, regroupées en « arts médiatiques » ;
  •  9e art : la bande-dessinée.
     Certains souhaiteraient ajouter un 10ème  art, comme le jeu de rôle, le jeu vidéo, le modélisme ferroviaire ou l’art culinaire ! Pour l’instant, personne ne s’est mis d’accord sur ce 10è art ! Moi, je vote pour l'artichaut...